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Deuxième séance de notre séminaire "Partitions territoriales : imaginaires et représentations" vendredi 25. J'interviendrai en fin de séance.
La prochaine séance du séminaire "Partitions territoriales : imaginaires et représentations" se déroulera vendredi 25 janvier, de 14h à 17h, salle A7-37 (EHESS, 54 bd raspail, Paris 6e): Rencontre avec Marcelino Truong, auteur du roman graphique Une si jolie guerre (Denoël, 2012) : L'art pour mieux panser l'Histoire. Avec projection du film Mille jours à Saigon de Marie-Christine Courtès (Vivement lundi ! productions, 2012). Modérateur : François Guillemot (CNRS/IAO) En deuxième partie de séance, Benjamin Joinau (Hongik University) présentera ses travaux : « Division et sexuation, catégories cognitives? » Nous nous réjouissons par avance de vous y retrouver. Anne Castaing, Benjamin Joinau, Delphine Robic-Diaz Pour les étudiant.e.s et collègues de l'EHESS :
Nous avons le plaisir de vous communiquer le programme du séminaire "Partitions territoriales : imaginaires et représentations". La séance introductive se déroulera vendredi 11 janvier, de 14h à 17h, salle A7-37 (EHESS, 54 bd raspail, Paris 6e). Nous nous réjouissons par avance de vous y retrouver. Anne Castaing, Benjamin Joinau, Delphine Robic-Diaz *********************************************************************************** Partitions territoriales : imaginaires et représentations 2e et 4e vendredis du mois de 14 h à 17 h (salle A07_37, 54 bd Raspail 75006 Paris), du 11 janvier 2019 au 14 juin 2019. Pas de séance le 22 février et le 24 mai 2019 Le développement des Partition Studies dans différentes disciplines (histoire, sciences politiques, géographie, mais aussi histoire et anthropologie culturelles, études littéraires, études cinématographiques) invite à une réflexion globale sur les divisions territoriales et les effets, sociaux et culturels, des « longues » partitions, en Inde, mais aussi en Corée, au Viêt-Nam, dans l’ex-Yougoslavie, en Irlande, en Israël/Palestine, etc. Les importants travaux effectués en ce sens sur les productions culturelles permettent à la fois de tisser une histoire des « communautés imaginaires » que sont les nations, et de saisir le faisceau d’images et de représentations qui s’agrègent au territoire, à son morcellement ou, plus encore, à sa perte. En témoigne par exemple la volumineuse littérature « diasporique » ou « exilique », travaillée par un imaginaire de l’espace disparu, mais aussi les représentations genrées des nations partitionnées qui sillonnent leurs productions cinématographiques et littéraires, ou encore l’obsession des frontières qui caractérise les cinémas indien ou coréen. En dissociant leur réflexion des approches disciplinaires, les Partition Studies incitent à considérer les partitions comme « paradigmes » esthétiques (Anna Bernard), structurant en profondeur les imaginaires et leurs réseaux de représentation. Ce séminaire vise ainsi à interroger les partitions et les divisions territoriales, récentes ou plus anciennes, d’un point de vue des représentations, comme témoin des assimilations imaginaires des ruptures communautaires et/ou nationales : littératures, cinémas, arts performatifs, arts plastiques seront les supports de nos réflexions. Calendrier : 11 janvier : introduction (Anne Castaing, Benjamin Joinau, Delphine Robic-Diaz): Penser et représenter les partitions territoriales : quels enjeux ? 25 janvier : Rencontre avec Marcelino Truong, auteur du roman graphique Une si jolie guerre (Denoël, 2012) : L'art pour mieux panser l'Histoire. Avec projection du film Mille jours à Saigon de Marie-Christine Courtès (Vivementlundi ! productions, 2012).
12 avril : Isabelle Ohayon (CNRS/CERCEC), "Disputes territoriales et disputes historiennes : la délimitation des frontières des républiques d'Asie centrale des années 1920 aux années 2000". 17 mai : Séance consacrée aux travaux d’étudiants 14 juin :
J'ai publié un article sur le hallyu, le cinéma sud-coréen comme soft-power dans la revue "Pouvoirs" actuellement en kiosque (numéro de novembre).
Cliquez pour avoir accès au sommaire et commander le numéro ou l'article. ![]() J'ai commis un chapitre de ce livre (sur Pyongyang)... A part cet article que je considère préparatoire, je ne peux que vous recommander cette lecture, sous la direction de la toujours excellente Valérie Gelézeau ! Collection Kalp’i – Études coréennes 3 de l’Institut d’études coréennes du Collège de France Valérie Gelézeau (dir.) SŎRABŎL DES CAPITALES DE LA CORÉE postface de Christian Montès Collège de France, Institut d’études coréennes, collection « Kalp’i – Études coréennes », 2018, 378 pages. Ouvrage diffusé aux Éditions De Boccard : 4 rue de Lanneau 75005 ParisTél :01 43 26 00 37 Présentation de l’ouvrage : Au lecteur français qui volontiers assimile la France à Paris et conçoit simplement une unique ville capitale, ce livre présente au contraire l’archipel des capitales de la Corée. Deux capitales d’États concurrents (Corée du Nord et Corée du Sud), Séoul et Pyongyang, existent sur la scène internationale en des images contrastées (défilés sur la place Kim Il Sung, surmodernité du Gangnamscape), tandis que deux grandes capitales historiques, Kaesŏng et Kyŏngju, toutes deux inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO sont le théâtre de programmes variés de conservation ou au contraire, de destruction de leur exceptionnel patrimoine. À côté de ces grandes capitales de la géohistoire coréenne, d’autres, moins connues, tissent la structure d’une histoire-espace où le pouvoir monarchique a capitalisé, et décapitalisé des sites — Kongju, Puyŏ, Suwŏn. Et au-delà de la péninsule, les grandes villes de la diaspora, d’Almaty au New Seoul de Los Angeles, achèvent de dessiner le réseau des capitales d’une « métanation » plurielle et complexe : la Corée. La perspective historique transversale, pluridisciplinaire et comparée de ce livre qui rassemble plus d’une dizaine d’auteurs propose un récit multisitué de ces capitales. Il montre comment le pouvoir s’inscrit dans la capitale, projetant l’intention nationale dans des actes de fondation ou de grands projets d’aménagement. Il analyse certains acteurs sociaux engagés dans la fabrique même de la capitale ou de ses lieux de mémoire — patrimoniaux ou nouveaux. Au-delà des capitales de la Corée, ce livre interroge, au fond, la capitalité, c’est-à-dire ce qui fait l’essence de toutes les capitales du monde. Valérie Gelézeau, géographe, est directrice d’études à l’EHESS. Sur le terrain, à partir de l’expérience des habitants, elle questionne la société coréenne dans son rapport à l’espace. Elle a publié notamment Séoul, ville géante, cités radieuses (CNRS éditions 2003, aujourd’hui en OpenEdition), Séoul Mégapole (Autrement, 2011) et (avec Alain Delissen et Koen De Ceuster)Debordering Korea (Routledge, 2013). Elle a reçu en 2005 la médaille de bronze du CNRS (section Territoires, espaces sociétés) et été lauréate en 2008 du prix Culturel France-Corée. KBS World Radio...I was on KBS World Radio, Korea 24 program on July 17th. We talked about dog meat issues, but we all realized that this is an issue of the past already in Korea... Don't even know why I was there. Anyway, Korea 24 team is great, so always a pleasure! From 8' to 29'. ...and an article by Kim Da-eun about "Les Soirées de Hapdong"Ne manquez pas le Salon des livres sur la Corée de l'AFPEC le vendredi 15 juin à la Maison de l'Asie à Paris, de 14 à 16h. "Urbanités coréennes" y sera présenté par Valérie Gelézeau, et le numéro spécial Corée de "Critique" (n°49, février 2018) par Alain Delissen et Kim Kyung-mi.
https://parisconsortium.hypotheses.org/17053?utm_source=alert I hosted the new cultural event series, Les Soirées de Hapdong, at the Residence of the French Embassy in Seoul. First event guests: Elodie Dornand de Rouville and Chung Soyoung, artists. Second event guests: Elisabeth Chabanol, archeologist and art historian, and Prof. Cho Kwang, historian. Next event: July 11th, Laurent Dallet, chef of Chef Bleu restaurant.
![]() AGRICULTURE ET BIODIVERSITÉ URBAINES : REGARDS CROISÉS ENTRE PARIS ET SÉOUL Les métropoles du 21esiècle veulent être des villes vertes et durables, capables de préserver la biodiversité. Face au changement climatique et à l’urbanisation galopante, les citoyens-citadins sont en quête d’un quotidien plus respectueux de l’environnement et d’un certain « retour à la nature ». Paris et Séoul n’échappent pas à ce constat, c’est pourquoi ces deux villes ont réfléchi à des programmes pour accompagner le développement de l’agriculture urbaine et à des plans pour préserver leur biodiversité. L’agriculture urbaine consiste à investir ou réinvestir des surfaces non conventionnelles en ville, à y produire des denrées alimentaires – cultures de plantes et de légumes, élevages d’animaux, installations de ruches, etc. –, à les transformer et à les distribuer à l’intérieur et en périphérie de la ville. Mme Pénélope KOMITES, adjointe à la Maire de Paris en charge des Espaces verts, de la Nature, de la Biodiversité et des Affaires funéraires, œuvre depuis septembre 2014 à la promotion de l’agriculture urbaine. Elle a notamment présenté au mois de mars dernier, avec Mme Hidalgo, maire de Paris, le plan biodiversité 2018-2024, qui vise à renforcer les actions de la capitale en faveur de la protection de la faune et de la flore, ainsi que du développement de la place de la nature en ville. Mme KOMITES présentera lors de ce café des sciences la vision de la ville de Paris en matière d’agriculture urbaine et de biodiversité, aux côtés de plusieurs intervenants coréens, afin d’échanger sur les initiatives françaises et coréennes en la matière et de donner un tour d’horizon des projets inspirants menés dans ces deux capitales. Les questions liées à la législation et aux bénéfices sociaux seront également abordées, tout comme les interrogations des citadins sur la pollution des sols, la qualité de l’air et les impacts sur la santé. Interprétation simultanée français-coréen DATE Jeudi 17 mai 2018 19h30 – 21h00 LIEU Salle de conférences de l’Institut français de Corée du Sud AUTRES INTERVENANTS M. KIM Wan-soon, professeur de l’université municipale de Séoul, président du Comité consultatif d’agriculture urbaine de la ville de Séoul. Diplômé d’un doctorat en arboriculture de l’environnement de l’université municipale de Séoul, M. KIM Wan-soon débute sa carrière professionnelle à l’Administration pour le développement rural (RDA) en tant que chercheur agronome. Depuis 2009, il est professeur titulaire à l’université municipale de Séoul. Depuis 2012, il est le président du Comité consultatif d’agriculture urbaine de la ville de Séoul, et membre du Comité consultatif du ministère de l’agriculture, de la pêche et des produits alimentaires. M. CHUN Ho-gyun, blogueur et entrepreneur Né en 1949, M. CHUN Ho-gyun est titulaire d’une licence de littérature anglaise obtenue à l’université Sungkyunkwan en 1976. Il est actuellement délégué général de l’entreprise sociale Ssamzi Nongbu, membre du conseil d’administration du Réseau de commerce équitable d’Asie (AFN) et membre du conseil d’administration de World Wide Opportunities Organic Farms(WWOOF) Korea. Il est l’ancien fondateur et PDG de la marque coréenne Ssamzi, connue pour ses sacs à main et portefeuilles. Il a publié trois livres : De la part d’un agriculteur en 2011,Architectes de la ville en 2013, et Je vais me régaler en 2017. Depuis 2010, il anime le blog Farming is art(http://farmingisart.tistory.com/), consacré à l’agriculture urbaine, l’agriculture biologique et il anime également des classes de sensibilisation à destination des enfants et adolescents. Mme KIM Na-hee, fondatrice de l’association d’agriculture urbaine Pajeori Née en 1986, Mme KIM Na-hee est titulaire d’une licence d’architecture du paysage de l’université municipale de Séoul. En 2011, elle a créé une association étudiante, Pajeori, qui promouvait l’agriculture urbaine et sensibilisait le grand public à un mode de vie plus écologique. Elle a ensuite travaillé dans une société d’architecture du paysage avant de s’investir pour l’écologie et l’environnement au sein de Greenpeace de 2013 à 2014. En 2015, elle a transformé son association étudiante, Pajeori, en une association de premier plan, très active dans les médias et sur les réseaux sociaux. M. Benjamin JOINAU, anthropologue Benjamin JOINAU est docteur en anthropologie culturelle spécialisé en études coréennes. Il est chercheur associé au Centre d’études coréennes (CRC) à l’EHESS, Paris, et maître de conférences à l’université Hongik à Séoul. Il vit et travaille en Corée du Sud depuis 1994. Sa thèse de doctorat analysait les régimes d’altérité dans le cinéma coréen. A travers l’herméneutique du matériau cinématographique et désormais de villes sud- et nord-coréennes, il explore les représentations et les pratiques dans la sphère publique coréenne (régimes de visibilité et d’invisibilité, micro-pratiques en agriculture urbaine, sémiologie des formes spatiales, etc.). Il est l’auteur de nombreux articles et ouvrages en français, anglais et coréen. Il est également directeur de la maison d’édition l’Atelier des Cahiers (www.atelierdescahiers.com) et lauréat du Prix culturel France-Corée 2014. MODÉRATRICE Mme Hortense SERRET, post-doctorante au sein de la division Ecoscience de l’université féminine Ewha Après un parcours pluridisciplinaire en biologie, histoire et philosophie des sciences et économie écologique, Mme Hortense SERRET a réalisé un doctorat en écologie au Muséum d’histoire naturelle de Paris. Elle s’est alors intéressée aux enjeux des espaces verts d’entreprise pour la biodiversité urbaine à travers leurs contributions aux connectivités écologiques urbaines, leur gestion, leurs intérêts pour le bien-être des salariés et leur capacité à recréer du lien entre ces derniers et la nature. Mme Hortense SERRET est post-doctorante au sein de la division Ecoscience de l’université féminine Ewha et œuvre à développer et fédérer des programmes de sciences participatives en écologie. |
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